LE GRAND BLANC
Les sangles longues des violes oblongues de l’automne résonnent
Raie sur le sable blond, les balles au bond, tu détonnes
François trône, François prône
Et en un déclic chevauche la tunique de plastique
Tu niques
Ebauche rudimentaire, firmament qui tombe à terre
Réflexe las du célibat latent mais sémantriquement
Tu es bien là François
François danse sur la maigre pitance
Et tombe sur le grand livre plein de barreaux, ivre, rayé de croix
J’y crois pas
François regarde le ciel désormais tt ne vit que pour demain
Ne fait plus rien des siennes, mais pourquoi se donnerait-il la peine ?
La paume l’une avec l’autre, les grands majeurs vers le procréateur
François l’apôtre ne serait plus qu’un récréateur
Du placard du marquis de la molle, il rencarde les Jean, les Paul
Et ne Saurel le dire précisément, sa peau est nue, requin blanc.
François tu serres, trop fort
Tu nous sers moins que la mort
François tu es pur
Es-tu sûr de t’asseoir aux portes des Gomorrhe ?
François n’y va pas !
Le noir et les rouges s’affrontent, François monte
Et croque le ver qui bouge dans la bonne, mieux qu’un jeu de pomme
Le grand serpent les y perdra, lui a deux fourches pour le tantra
François réplique d’un parfum chrétien, Dior entre les tiens
Car loin des infirmités électives naîtra peut-être le mâle
Cet illustre convive et sa canopée de poils
Dans la cavité divine mes fées Mélusine comme autant de crécerelles enragées
Commentent la mort câline uu petit Dragon usagé
François tu serres, trop fort
Tu nous sers moins que la mort
François tu es dur
Es-tu sûr de t’asseoir aux portes des Gomorrhe ?
François n’y va pas !
Raie sur le sable blond, les balles au bond, tu détonnes
François trône, François prône
Et en un déclic chevauche la tunique de plastique
Tu niques
Ebauche rudimentaire, firmament qui tombe à terre
Réflexe las du célibat latent mais sémantriquement
Tu es bien là François
François danse sur la maigre pitance
Et tombe sur le grand livre plein de barreaux, ivre, rayé de croix
J’y crois pas
François regarde le ciel désormais tt ne vit que pour demain
Ne fait plus rien des siennes, mais pourquoi se donnerait-il la peine ?
La paume l’une avec l’autre, les grands majeurs vers le procréateur
François l’apôtre ne serait plus qu’un récréateur
Du placard du marquis de la molle, il rencarde les Jean, les Paul
Et ne Saurel le dire précisément, sa peau est nue, requin blanc.
François tu serres, trop fort
Tu nous sers moins que la mort
François tu es pur
Es-tu sûr de t’asseoir aux portes des Gomorrhe ?
François n’y va pas !
Le noir et les rouges s’affrontent, François monte
Et croque le ver qui bouge dans la bonne, mieux qu’un jeu de pomme
Le grand serpent les y perdra, lui a deux fourches pour le tantra
François réplique d’un parfum chrétien, Dior entre les tiens
Car loin des infirmités électives naîtra peut-être le mâle
Cet illustre convive et sa canopée de poils
Dans la cavité divine mes fées Mélusine comme autant de crécerelles enragées
Commentent la mort câline uu petit Dragon usagé
François tu serres, trop fort
Tu nous sers moins que la mort
François tu es dur
Es-tu sûr de t’asseoir aux portes des Gomorrhe ?
François n’y va pas !