MON CORPS EN PRIME
V’là mon coeur bloqué encore à l’énième sous-sol de l’affect, alors
J’aimerais connaître l’ardeur en plein essor, insecte tu n’es pas mort
Sans bagages va prendre l’ascenseur, suspendre la censure
Sentir mes rouages se détendre le long du ventre de la luxure
Faire de mon corps un chasseur de primes, en pagaille
Voulez-vous toucher avec moi ce soir le fond, de la grisaille ?
Quand entre l’index et le majeur je touche tes cheveux, majuscules
Le beau sexe est à l’honneur, je me couche un peu moins ridicule
Je m’engage à tenir entre mon discours et tes reins
Sans rage quelques diagonales de glamour, je t’étreins
Sur le chemin de mon faire, ma diligence,
De votre entrain je revendique déjà quelque ingérence
Avec elle c’est terminé, sauf quelques week-ends peut-être parfois
Où je suis encore plus déprimé, où je me sens encore plus seul qu’avec toi
On pourrait peut-être faire l’amour, enfin un peu, si ça te va
Trahir la parodie des corps enfin, pas trop faire mourir c’qui s’voit
Je te vois !
J’aimerais connaître l’ardeur en plein essor, insecte tu n’es pas mort
Sans bagages va prendre l’ascenseur, suspendre la censure
Sentir mes rouages se détendre le long du ventre de la luxure
Faire de mon corps un chasseur de primes, en pagaille
Voulez-vous toucher avec moi ce soir le fond, de la grisaille ?
Quand entre l’index et le majeur je touche tes cheveux, majuscules
Le beau sexe est à l’honneur, je me couche un peu moins ridicule
Je m’engage à tenir entre mon discours et tes reins
Sans rage quelques diagonales de glamour, je t’étreins
Sur le chemin de mon faire, ma diligence,
De votre entrain je revendique déjà quelque ingérence
Avec elle c’est terminé, sauf quelques week-ends peut-être parfois
Où je suis encore plus déprimé, où je me sens encore plus seul qu’avec toi
On pourrait peut-être faire l’amour, enfin un peu, si ça te va
Trahir la parodie des corps enfin, pas trop faire mourir c’qui s’voit
Je te vois !