SIR EMMANUEL
Faut inspirer, tu es un faux inspiré
Tes tendances marsupiales à te cacher pour transpirer
La nouvelle donne c’est le pire je pense à ce soir de pleine lune
Où t’aurais pu lever la Madone, la chance
Mais t’iras qu’pour partir, venir
Ne pas choisir ta une allez viens on est rien tant mieux je me tire par balle
Je lève les voiles, je crie même de travers
Dans l’étreinte populaire se noie un mystère, I miss Univers
I miss you pourquoi se taire allez ris on est bien au pieux je me tire au bal
Ecrire un poème une trahison
Dans ce monde binaire où les zéros plus que les fous nous enterrent sur un petit trône de verre
Mais qu’est-ce que tu peux faire ?
Change de gourou, celui-ci ne va pas très bien
Trop années 2000 face ou pile petit roi dans le mile
Bon fric, gros genre, plus pourri qu’indécis tu es le mal viril
T’éjacules ton matricule, ta réplique
Des numéros un lieu pas de nom pas de nu, juste une fausse grimace d’épileptique
Tu te bafoues tu l’as su, tu te joues de moi
Quand as-tu toisé ton miroir pour la dernière fois
Tu fais de la Volonté un palais mais sans représentation
Tout ça regarde bien ça n’existe pas
Pas d’odeurs pas de couleurs ça se barre ça casse nan ça marche pas
Tu pourrais ressentir un vertige à la limite, une petite mort à la rigueur
A l’aplomb de la verticale ardeur
Passe l’âme à gauche dans la porte étroite
Ton horizon se trompe de hauteur, ta montre boîte
Tu es un peu mort pour ça tu sais
Tu fais l’malin avec cette coquette victoire mais tu pourras rien en faire
Petit chien sans gloire, gangsta roquet à terre
Et pendant ce temps sur la grève les baleines torpillées continuent de te maquiller
Car tout est à vendre
Je parle bien sûr des revendications, de la verve
Quel combat à reprendre
Finalement tu laisses faire les temps hauts, les coups bas
T’as que ta belle peau comme échappement
La maigreur comme serment, la peur à prêter contre un mandat de roi
Tu donnes viagra, rimmel et mauvaise peinture
Qu’as-tu fait de l’espoir, de notre belle aventure
Tu broies du soir dans des bras de soie, le mauvais sang à la pelle
Enfant sans clarté n’entends-tu pas le grillon qui crève au lieu de chanter
Car il ne sent plus la lumière
Celle que t’as vendu comme une prière
Sir Emmanuel
Mais on se sent seuls sans elle.
Tes tendances marsupiales à te cacher pour transpirer
La nouvelle donne c’est le pire je pense à ce soir de pleine lune
Où t’aurais pu lever la Madone, la chance
Mais t’iras qu’pour partir, venir
Ne pas choisir ta une allez viens on est rien tant mieux je me tire par balle
Je lève les voiles, je crie même de travers
Dans l’étreinte populaire se noie un mystère, I miss Univers
I miss you pourquoi se taire allez ris on est bien au pieux je me tire au bal
Ecrire un poème une trahison
Dans ce monde binaire où les zéros plus que les fous nous enterrent sur un petit trône de verre
Mais qu’est-ce que tu peux faire ?
Change de gourou, celui-ci ne va pas très bien
Trop années 2000 face ou pile petit roi dans le mile
Bon fric, gros genre, plus pourri qu’indécis tu es le mal viril
T’éjacules ton matricule, ta réplique
Des numéros un lieu pas de nom pas de nu, juste une fausse grimace d’épileptique
Tu te bafoues tu l’as su, tu te joues de moi
Quand as-tu toisé ton miroir pour la dernière fois
Tu fais de la Volonté un palais mais sans représentation
Tout ça regarde bien ça n’existe pas
Pas d’odeurs pas de couleurs ça se barre ça casse nan ça marche pas
Tu pourrais ressentir un vertige à la limite, une petite mort à la rigueur
A l’aplomb de la verticale ardeur
Passe l’âme à gauche dans la porte étroite
Ton horizon se trompe de hauteur, ta montre boîte
Tu es un peu mort pour ça tu sais
Tu fais l’malin avec cette coquette victoire mais tu pourras rien en faire
Petit chien sans gloire, gangsta roquet à terre
Et pendant ce temps sur la grève les baleines torpillées continuent de te maquiller
Car tout est à vendre
Je parle bien sûr des revendications, de la verve
Quel combat à reprendre
Finalement tu laisses faire les temps hauts, les coups bas
T’as que ta belle peau comme échappement
La maigreur comme serment, la peur à prêter contre un mandat de roi
Tu donnes viagra, rimmel et mauvaise peinture
Qu’as-tu fait de l’espoir, de notre belle aventure
Tu broies du soir dans des bras de soie, le mauvais sang à la pelle
Enfant sans clarté n’entends-tu pas le grillon qui crève au lieu de chanter
Car il ne sent plus la lumière
Celle que t’as vendu comme une prière
Sir Emmanuel
Mais on se sent seuls sans elle.