LES BELS GENS
On les trouve en déséquilibre
La moue de travers, jamais lasse
Les bels gens sont libres
Nous livrent et nous fracassent
Une leçon venue des cieux
Hameçon offert par les dieux
Les bels gens apprennent
Les bels gens nous traînent
Ils touchent l’humeur des autres
Mais ne se joueront pas de la vôtre
Ils tendent les deux joues
A s’en tordre par coeur le cou
Ils font l’amour à contre-jour
Et croisent le fer dans nos fours
Les bels gens déraillent
A braver notre ferraille
Les bels gens étreignent
Les bels gens saignent
Se prennent des trains dans la gueule
Les bels gens sont bien seuls
Les bels gens ne partent pas
Ne savent rien, ils ne croient pas
Font mine d’être bien
Ils épargnent votre sort, le mien
Le front fier, la lèvre tordue
J’adore la façon qu’elle a de se taire
De chercher les mots par terre
Mais comme elle n’a rien perdu
Mais comme elle n’a rien
Mais comme elle n’a rien perdu
Mais comme elle n’a rien
La moue de travers, jamais lasse
Les bels gens sont libres
Nous livrent et nous fracassent
Une leçon venue des cieux
Hameçon offert par les dieux
Les bels gens apprennent
Les bels gens nous traînent
Ils touchent l’humeur des autres
Mais ne se joueront pas de la vôtre
Ils tendent les deux joues
A s’en tordre par coeur le cou
Ils font l’amour à contre-jour
Et croisent le fer dans nos fours
Les bels gens déraillent
A braver notre ferraille
Les bels gens étreignent
Les bels gens saignent
Se prennent des trains dans la gueule
Les bels gens sont bien seuls
Les bels gens ne partent pas
Ne savent rien, ils ne croient pas
Font mine d’être bien
Ils épargnent votre sort, le mien
Le front fier, la lèvre tordue
J’adore la façon qu’elle a de se taire
De chercher les mots par terre
Mais comme elle n’a rien perdu
Mais comme elle n’a rien
Mais comme elle n’a rien perdu
Mais comme elle n’a rien