ON JETTERA DES FLEURS
Ma capitale reste tendue
Faut rebrancher la télé
Encore une bande de tordus
Ont fait saigner les pavés
Leur serment hypocrite
Nous éclatera la rate
Sermon sors de ce christ
Plus peur de Ponce Pilate
Tourne le monde dans ta bouche avant de prier, de crier, de cracher ta science,
Petit médecin guerrier,
Mon allié né de la conscience
Soigne la France demain
Pour l’instant t’es juste en transe
Piqûre à vif sans les mains
Mais on jettera des fleurs
Sur la scène à l’opéra
Et on bradera des pleurs
Sur l’obscène en bas d’chez toi
Droit de véto funéraire
Pour écorcher les porcs
Ce bout de ta viande
N’est pas tout à fait mort
Viens mon p’tit chat
On n’a qu’à faire un bébé
Connaître la mort à trois
Quand tout va péter
C’est bientôt la fin du moi
J’vais m’ach’ter des remords
La poudre gravée dans l’ambre
J’croyais que j’étais dehors
C’est toujours un 13 novembre
Qui me dit que j’ai tort
Dans mon corps un tour de sang
Qui me crie pourquoi encore
Mais on jettera des fleurs
Sur la scène à l’opéra
Et on bradera des pleurs
Sur l’obscène en bas d’chez toi
Faut rebrancher la télé
Encore une bande de tordus
Ont fait saigner les pavés
Leur serment hypocrite
Nous éclatera la rate
Sermon sors de ce christ
Plus peur de Ponce Pilate
Tourne le monde dans ta bouche avant de prier, de crier, de cracher ta science,
Petit médecin guerrier,
Mon allié né de la conscience
Soigne la France demain
Pour l’instant t’es juste en transe
Piqûre à vif sans les mains
Mais on jettera des fleurs
Sur la scène à l’opéra
Et on bradera des pleurs
Sur l’obscène en bas d’chez toi
Droit de véto funéraire
Pour écorcher les porcs
Ce bout de ta viande
N’est pas tout à fait mort
Viens mon p’tit chat
On n’a qu’à faire un bébé
Connaître la mort à trois
Quand tout va péter
C’est bientôt la fin du moi
J’vais m’ach’ter des remords
La poudre gravée dans l’ambre
J’croyais que j’étais dehors
C’est toujours un 13 novembre
Qui me dit que j’ai tort
Dans mon corps un tour de sang
Qui me crie pourquoi encore
Mais on jettera des fleurs
Sur la scène à l’opéra
Et on bradera des pleurs
Sur l’obscène en bas d’chez toi